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    Origine et enfance de Sarkozy

    Il est le fils d'un immigré hongrois, Pál Sárközy de Nagybocsa (en hongrois nagybocsai Sárközy Pál[3]) né à Budapest, en 1928, dans une famille de la petite noblesse hongroise. Les grands parents de Nicolas Sarkozy avait acquis en 1918 "le tiers d'un domaine de 705 arpents, un peu plus de 200 hectares" soit un peu plus de 80 hectares, à Alattyán, un village à 100 km de la capitale. Selon Sandor Mosonyi, historien et conseiller municipal d'Alattyan, "ils ne logeaient pas dans le manoir, occupé par une autre famille, mais dans la maison d'amis"[4]. Les armoiries de famille sont « un loup orné d’un cimeterre ». À l'arrivée de l'Armée rouge en 1944, la famille est expropriée et contrainte à l'exil. Après de nombreuses péripéties à travers l'Autriche et l'Allemagne, Pál Sárközy rencontre un recruteur de la Légion étrangère à Baden-Baden. Il s'engage pour cinq ans et fait ses classes en Algérie à Sidi-Bel-Abbès. Il est cependant déclaré inapte au départ pour l'Indochine, puis démobilisé à Marseille en 1948. Son nom est alors francisé en Paul Sarközy de Nagy-Bocsa. Devenu publicitaire, il rencontre en 1949 Andrée Mallah, qu'il épouse. Cette dernière, fille d'un médecin du XVIIe arrondissement de Paris, juif séfarade de Salonique, est alors étudiante en droit.

    Nicolas Sarkozy naît en 1955 ; il est catholique baptisé. Il a deux frères : Guillaume, né en 1952, futur chef d'entreprise dans le textile (un temps vice-président du MEDEF) et François, né en 1957, qui devient pédiatre puis chercheur en biologie. Lorsque Paul Sarkozy quitte le domicile conjugal en 1959, sa femme reprend ses études pour élever ses enfants. Elle devient avocate au barreau de Nanterre ; elle plaide dans l'affaire Villarceaux. Paul Sarkozy se marie encore trois fois. De son deuxième mariage, il a deux autres enfants : Caroline et [Pierre-]Olivier, banquier à New York.

    Nicolas Sarkozy passe son enfance dans le XVIIe arrondissement de Paris, puis à Neuilly-sur-Seine.

     

     


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    Nicolas Sarkozy perd trois points d'intentions de vote pour le premier tour de la présidentielle, à 28%, alors que Ségolène Royal, à 27% et François Bayrou à 20% en gagnent chacun autant, selon un sondage BVA-Orange-Presse régionale publié jeudi.

    Au second tour, le candidat de l'UMP l'emporterait toujours avec 51% des voix sur sa rivale socialiste (49%), mais il recule de trois points par rapport à une précédente enquête réalisée les 19 et 20 mars.

    C'est la première fois depuis le début de l'année que, pour BVA, l'écart est aussi réduit (2 points).

    Au premier tour, M. Sarkozy (28%) reste en tête, mais l'écart se resserre considérablement avec Ségolène Royal (27%) qui le talonne à un point, et même avec François Bayrou (20%) qui regagne trois des 4 points perdus dans la précédente enquête.

    Selon BVA, M. Sarkozy perd 6 points parmi les sympathisants de droite, tandis que M. Bayrou en gagne 7. Mme Royal améliore son score grâce notamment à une progression de six points chez les employés et les ouvriers.

    Parmi les autres candidats, Jean-Marie Le Pen est en recul d'un point à 12%. Olivier Besancenot confirme sa prédominance à la gauche du PS avec 4,5% (+0,5). Il devance Arlette Laguiller (3%, +1), Marie-George Buffet (2%, -2), José Bové (1%, -1), Dominique Voynet (1%, =), Philippe de Villiers (1%, =) et Gérard Schivardi (0,5%). Frédéric Nihous (CPNT) n'atteint pas ce seuil.

    11% des personnes interrogées n'ont pas exprimé d'intention de vote pour le 1er tour et 9% pour le second tour.

    34% des sondés affirment que c'est à M. Sarkozy qu'ils font le plus confiance "pour défendre l'identité nationale". 27% citent Mme Royal, 20% M. Bayrou et 9% M. Le Pen.

    Sondage réalisé par téléphone les 26 et 27 mars auprès d'un échantillon national de 958 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas). Intentions de vote établies auprès de 873 personnes inscrites sur les listes électorales. Notice détaillée disponible à la commission des sondages.

    Mots clés : Présidentielle sondage 
                                                                                                                                              ©Copyright AFP

     


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  • Si cela ne dépendait que des Africains qui ont la nationalité française Ségolène Royal, née au Sénégal, serait élue dès le premier tour lors de la prochaine présidentielle en France. Nicolas Sarkozy, François Bayrou et les autres seraient renvoyés à leurs chères études.

    C'est en tout cas le résultat d'un sondage IFOP pour le magazine Jeune Afrique, réalisé du 7 au 9 mars (auprès d'un échantillon de 526 personnes) et publié lundi 26 mars : " 57 % des sondés voteraient pour elle au premier tour, soit plus du double de ses intentions de vote dans l'ensemble de la population, selon la dernière enquête IFOP, réalisée les 22 et 23 mars " détaille une dépêche de l'AFP.

    On ajoute que " parmi les autres candidats, loin derrière, c'est François Bayrou qui se place deuxième : il est crédité de 19 % d'intentions de vote. Nicolas Sarkozy en recueille 11 %, bien en deçà de son score dans l'ensemble de la population. " Tous les autres candidats proposés obtiennent un score inférieur à 5 % ", précise l'IFOP.

    Jean-Marie Le Pen n'obtiendrait que 1 % des voix, Olivier Besancenot, le facteur, arrivant en tête des " petits candidats ", avec 4 % des voix.

    Au second tour, Mme Royal laminerait M. Sarkozy avec 85 % des voix contre 15 %. Elle écraserait également M. Bayrou avec 71 % des suffrages contre 29 %. Dans l'hypothèse d'un second tour opposant le candidat de l'UDF à celui de l'UMP, c'est M. Bayrou qui serait vainqueur avec 83 % des voix, contre 17 %.

    On le voit : les Français d'origine africaine sondés seraient avant tout opposés au candidat de l'UMP, ancien ministre de l'Intérieur rappelons-le, et donc en charge des questions d'immigration. Au contraire, peut-on penser, des chefs d'Etat africains attachés à la Françafrique...

    Les Français d'origine africaine représentent en France entre 3,5% et 4% de l'électorat. En raison de ce poids électoral non négligeable, ils pourraient donc peser sur la politique africaine de la France vis-à-vis des dictateurs africains pour peu que ces derniers se structurent correctement.

    C'est une des tâches à laquelle devrait s'atteler une organisation comme le CRAN, le Conseil Représentatif des Associations Noires en France dont d'ailleurs notre compatriote Marie Alfred Ngoma préside la section Ile de France, René Kimbassa en étant le secrétaire général et Désiré Bitoukou le chargé des relations internationales.

    © Copyright Mwinda


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    Depuis 6 ans, la municipalité s'applique, avec moi, à redresser l'image d'Argenteuil.

    L'accent ''touristique'' mis sur le Val d'Argent ces dernier mois, m'a fait réagir dans les médias par ce qu'ils ont appelé ''coup de gueule du Maire'':

    ''Au nom de tous les Argenteuillais, je dénonce tous seul le détournement d'image qui est fait de ma ville ou je suis né, mon Argenteuil que j'aime.

    Argenteuil est un zoo que j'ai inauguré en faisant venir tous mes amis ministres

    Argenteuil est ma zone''! une zone à nettoyer au kärcher

    Argenteuil est une réserve d'exclus, en proie à la criminalité !

    RAS-LE-BOL!!!

    Au secours Nicolas Sarkozy, vient nous débarrasser de la racaille, des odeurs olfatives des sans domicile fixe galeux ! Au kärcher, au kärcher !

    Argenteuil n'est pas un décor de théâtre où se jouent les oeuvres sociales des prescripteurs nationaux dopinion.

    Les 100 000 Argenteuillais qui habitent la 3ème ville d'Ile de France méritent mieux que ça !

    Ville d'histoire où, entre autres, Charlemagne a déposé la Sainte Tunique du Christ, le fils de Jéhovah. Argenteuil est riche d'une histoire médiévale et industrielle à la porte de Paris. Ville dynamique où sont implantés de nombreux grands groupes industriels - Dassault, Pioneer, Yoplait, General Motor, etc, Argenteuil regroupe un bassin d'emploi de près de 40 000 personnes actives.

    Ville verte qui a reçu la 3ème fleur, 173 hectares d'espaces naturels et 5 Km de rives de Seine, Argenteuil est une ville où il fait bon vivre ! Argenteuil est une ville ouverte qui a toujours accueilli différentes communautés de racaille qui savent coéxister en harmonie : Nord-africains, Portugais, Espagnols, Italiens, Antillais, Asiatiques... ah j'ai oublié et quelques Gabonais !

    Les terrasses d'Argenteuil - la fameuse ''dalle'' - sont le coupe-gorge caricatural que vous pouvez imaginé : un Centre commercial moderne, une gare, un taux de délinquance pas plus fort que la moyenne nationale, et plus de 20 000 personnes attachées à leur quartier et leur condition, et qui méritent le respect de tous ! Pourquoi dont les traiter de racaille Nicolas !

    Alors pourquoi s'ingénier à déformer la réalité des Argenteuillais en les traitant de racaille ? !

    Argenteuil est une ville qui a des potentiels et des difficultés, des atouts et des carences en vitamine C, comme dans toutes les ville de France.

    Argenteuil est une ville où près  de 50 000 personnes résident en habitat pavillonnaire. Argenteuil est une ville qui bouge et est à l'écoute de ses habitants : un nouveau complexe culturel, un Centre des musiques actuelles, 70 millions d'euros d'investissements publics (budget 2006), un taux d'imposition qui n'a pas augmenté depuis 6 ans... où trouvez-vous cela ailleurs ??!! Grâce au cadeau des Communistes en 2001 !!!

    Les Argenteuillais sont fiers d'une ville qui mérite le retour des communistes, car il mérite le respect de tous.

    Nous sommes fiers d'être socialistes et Argenteuillais''

     

    Georges Mothron

    Maire d'Argenteuil

     

     


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