• comme quoi même les plus aguerris peuvent faire des erreurs..
    cliquez sur http://www.mothron- argenteuil2008. fr/ ...le site n'existe
    pas et pourtant il apparait sur le tract de campagne !!! On appelle ça publicité mensongère, le canular de l'homme au malador. Je suis blogueuse, donc le malodor ne peut pas m'atteindre !


    Pour accéder à ce fichier, allez sur :

    http://fr.groups. yahoo.com/ group/modemab/ files/Mothron% 20Bilan%2015_ 12_07.pdf

    Daniel Ortega

    http://www.bezonsavenir.info

     


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  • Si tel est le cas, nous examinerons en toute objectivité son éventuelle participation à notre liste !

    Plus sérieusement, Georges Mothron, en exploitant les couleurs de campagnes du MoDem et un slogan prétendant à l'ouverture, cherche à brouiller les pistes et à provoquer une confusion maximum dans l'esprit des électeurs.

    Il est frappant, et sans doute révélateur, que note député maire UMP, membre de la majorité présidentielle, ne fasse aucune mention de cette appartenance UMP dans son premier tract de campagne. M. Mothron aurait-il un problème d'identité ?

    Dans le même ordre d'idée, quand nous lisons les slogans du candidat socialiste Philippe Doucet : 'Fiers d'être Argenteuillais !', 'Une ville pour tous',  'Une ville de la réussite', 'Une ville citoyenne', nous reconnaissons d'abord nos propres mots, mais nous avons encore en tête le bilan des équipes municipales d'avant 2001, qui étaient à l'opposé de ces déclarations de bonnes intentions.

    Ces tentatives d'imitation du MoDem nous donnent raison sur la pertinence de notre démarche et nous encouragent à être encore plus motivés à être nous-mêmes.

    Il n'est de MoDem que le MoDem, mais nous aurons toujours pour vocation de rassembler pour construire

    Christophe Hénocq
    Candidat tête de liste MoDem aux élections municipales d'Argenteuil de mars 2008

    http://modemargente uil.zumablog. com/index. php?p=2876

    pour Info

    cdlt

    Christophe Hénocq

    Argenteuil Ville d'Avenir

    Prosperer Ensemble

    MoDem Argenteuil


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  • Les AVS, une aide précieuse aux enfants handicapés

    La loi du 11 février 2005 fait de l’intégration des enfants handicapés en milieu scolaire normal, une obligation nationale. En effet, cette loi prône le droit à une éducation scolaire pour tous les enfants quelle que soit la nature et la gravité de leur handicap. Plus facile à dire qu’à faire?

    On ne peut pas dire avec exactitude combien il y a de personnes handicapées en France car cela dépend de la définition retenue pour « handicap » (incapacité à agir seul dans la vie de tous les jours sans aide humaine ou technique, retards mentaux sévères, surdité, cécité...). Mais le problème du handicap reste bien une réalité. D’après le Handicap en chiffres - CTNERHI, la DREES et la DGAS - 2004, il y a, selon la définition retenue, entre 1 et 5 millions de personnes handicapées en France. Parmi eux, 160 000 enfants handicapés scolarisés à la rentrée 2006-2007. Ce nombre est en constante augmentation. Pour faciliter leur intégration, de nouvelles institutions ont été créées telles que les MDPH (Maison départementales de la personne handicapée), ainsi que de nouvelles fonctions telles que les AVS (Auxiliaires de vie scolaire). Ces dernières ont été créées il y a deux ans après la loi de février 2005, et à titre provisoire. Leur rôle est très important dans l’intégration des enfants handicapés car il consiste à les aider dans leur travail scolaire et leur rapport avec les autres élèves.

    Deux facettes d’une même fonction :

    Il existe deux sortes d’AVS : les AVS-i (AVS individuels) en classe traditionnelle et les AVS-co (AVS collectifs) en CLIS, Classe insertion scolaire.

    On pourrait imaginer qu’il faille une formation particulière pour prendre en charge des enfants handicapés et répondre correctement à leurs besoins, mais non. Marjorie D. AVS-i, et Béatrice L. AVS-co, n’ont reçu aucune formation particulière. « Nous n’avons eu pas de formation avant d’être engagée, mais seulement une journée d’information selon le handicap de l’enfant ».

    Avoir une formation ne serait pourtant pas du luxe quand on pense que certains enfants peuvent être pris de crises aussi soudaines que violentes, et dangereuses aussi bien pour eux que pour les autres. Particulièrement dans le cas des enfants à troubles psychologiques.

    Mme J., professeur des écoles en maternelle à Bezons, citait le cas d’une jeune AVS qui était venue s’occuper d’un enfant à trouble du comportement et qui n’était restée qu’une demi-journée. Pourquoi ? Parce qu’elle a été surprise par la difficulté du travail. Voilà un enfant qui avait besoin d’être accompagné et qui se retrouve seul.

    A la question : Auriez-vous aimé avoir une formation initiale ou continue ? « Oui, ne serait-ce que pour être informée sur les handicaps, être préparée et savoir comment réagir. Ainsi que pour l’aspect psychologique », nous répond Béatrice L.

    Ces enfants sont « extra-ordinaires », il faut s’adapter à leur manière de penser ce qui n’est pas évident car « ils sont énigmatiques ». Et pourtant, même dans une classe à champ mental (trisomie, retard...), ces enfants ne sont pas bien différents des autres. Effectif réduit à dix élèves, ces enfants avancent à leur rythme entourés de l’aide précieuse de leur enseignante et de leur AVS. « Les AVS sont indispensables ! Aussi bien au bon déroulement de la classe qu’à la qualité du travail », nous dit Caroline H., enseignante spécialisée en CLIS.

    Malgré cela, beaucoup d’enfants ne bénéficient pas encore de l’aide d’une AVS ou alors n’en bénéficient plus : « On est des pions », nous dit Marjorie D. « Quelquefois, au cours de l’année, on nous change d’enfant. Il faut alors recommencer tout le travail de confiance et d’écoute. Ce n’est pas non plus évident pour l’enfant qui était habitué à une personne, à un mode de travail... Ce n’est pas logique quand on pense que l’on recherche la stabilité pour l’enfant ».

    Les AVS se sont révélés nécessaires, mais leur nombre reste insuffisant par rapport à la demande.

    La faute à la lenteur des démarches ? Car pour bénéficier de l’aide d’une AVS il faut que l’enfant soit reconnu comme étant handicapé. Mais le mot handicap choque beaucoup de parents qui ont du mal à accepter ce terme. Béatrice L. se souvient d’une rentrée où un parent d’élève avait dit à son enfant que maintenant qu’ « il était dans une classe de débiles il ne pourrait plus devenir pompier et qu’il pouvait abandonner son rêve tout de suite »...

    La faute à l’absence de formation ? Car les volontaires ne savent pas à quoi s’attendre, et finissent par abandonner.

    La faute au manque de personnel ?

    La faute au manque de moyens économiques ? Il n’y a pas assez d’argent pour engager autant d’AVS qu’il y a d’enfants handicapés.

    Tout cela est possible. En conséquence, il est illogique que les AVS ne soient que des CDD renouvelables tous les ans et seulement six fois. Pourquoi limiter à six ans lorsqu’il y a déjà un manque de personnel notoire ?

    Cette fonction mériterait d’être reconnue comme un métier à part entière avec ce que cela implique, comme, par exemple, une formation.

    Être AVS demande beaucoup d’investissement de la part des personnes qui exercent cette fonction, des qualités d’observation, de la patience, un moral d’acier, et aussi ne pas oublier que ces enfants ont besoin d’affection pour les aider à s’intégrer le mieux possible dans les écoles.

     

    NOLWENN VINCENT


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  • APA : les sénateurs jouent les tontons flingueurs

    Le Sénat a adopté lundi 10 décembre un amendement sur l’Allocation personnalisée autonomie (APA). Le texte prévoit que désormais les héritiers d’une personne âgée décédée devront céder une partie de leur héritage pour rembourser les prestations versées au titre de l’APA. Une mesure très décriée. Pourquoi ne pas étendre en effet cette logique au remboursement des frais de scolarité, aux avantages sociaux et aux remboursements médicaux?

    Le recouvrement par les Conseils généraux sur la succession du bénéficiaire de l’APA, interviendrait lorsque la valeur de l’actif net successoral est supérieure à 100 000 euros. Il s’appliquerait aux allocations attribuées pour la première fois à leurs bénéficiaires à compter du 1er janvier 2009. Le recouvrement toutefois interviendrait semble-t-il sur la tranche supérieure aux 100 000 euros. Cet amendement pour être applicable doit cependant être validé par les parlementaires réunis en commission mixte paritaire le 18 décembre. Dans un premier temps, le gouvernement s’y déclare défavorable, mais sa base parlementaire pousse même si la mesure brouille les lignes.

    A l’origine de l’amendement, le politiquement incorrect sénateur PS Michel Charasse qui aurait souhaité un seuil plus bas à 50 000 €. Les angles du texte ont été arrondis par deux autres parlementaires Philippe Marini (UMP) et Jean Arthuis (UDF-Modem). La direction du PS a réagit vivement en estimant que l’amendement scélérat constitue un recul social considérable qui conduit à détricoter l’APA et risque d’affaiblir la situation des personnes dépendantes. Le sénateur du Puy-de-Dôme à qui il est régulièrement reproché sa proximité de Nicolas Sarkozy fait le jeu de son collègue Marini (UMP) selon lequel, “en matière de dépendance, la solidarité ne doit pas tout”, c’est le principe posé par l’amendement qui compte.

    Les principales fédérations du secteur de l’aide à domicile sont opposées à ce projet, dont elles demandent le retrait. Pour ces dernières, cet amendement “dénature le caractère universel de l’APA, allocation accessible à tous sans critère de revenu, mais en fonction d’une situation de dépendance, en la réduisant à une sorte ’d’emprunt’ qui pourrait être remboursé sur la succession du bénéficiaire”. Il risque en outre de “freiner considérablement le développement de l’APA, voire de la remettre profondément en cause”, en ramenant sa situation à celle de la prestation spécifique dépendance (PSD), qui la précédait jusqu’en 2002, et dont l’échec était justement, au moins en partie, imputable à la possibilité de recouvrement sur la succession du bénéficiaire.

    Les enjeux financiers sont considérables à un moment où le vieillissement de la population fait de la prise en charge de la dépendance un enjeu de société. A ce jour, l’APA concerne 800 000 personnes, alors que le dispositif précédent en comptait 140 000. Si beaucoup ne sont pas opposés à une participation de la personne âgée ou de sa famille en complément de la solidarité nationale, la radicalité de la mesure suscite une vague d’indignation.

    L’APA a été créée en 2001 par le gouvernement Jospin et se distinguait alors du dispositif en vigueur, la PSD, par la suppression de tout recours sur succession, dans l’idée de dégager tous les bénéficiaires, de toute forme de culpabilisation en particulier vis-à-vis des héritiers. On peut comprendre une approche comptable de la question de la dépendance mais, une nouvelle fois, ce qui choque c’est la méthode employée. L’absence de réflexion collective et de sentiment de justice sociale.

    L’Education nationale comme la dépendance des personnes âgées mobilisent des sommes colossales, c’est certain. Mais, avant de s’en prendre aux plus faibles, il serait bon que nos honorables parlementaires fassent le ménage dans les finances de la nation, à tous les niveaux, Etat, mais aussi collectivités locales. Commençons par ramener le train de vie de la République et des élus à un peu plus de modestie, à réfléchir à une meilleure redistribution des richesses dans une société où, dans les sommets, l’argent coule à flot. Parce que le vrai problème de l’APA, ce n’est pas qu’elle existe, mais que les retraites de la très grande majorité des Français ne


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  • Selon OpinionWay, 64 % des Français souhaitent que Bayrou ne s’allie ni avec le PS ni avec l’UMP.

    François Bayrou pourra y voir une sorte de caution apportée à sa stratégie : une très large majorité des électeurs (64 %) souhaite que le MoDem ne s’allie ni avec l’UMP ni avec le PS. Selon un sondage OpinionWay pour le Figaro et LCI, l’opinion paraît en tout cas prendre en compte le positionnement du député des Pyrénées-Atlantiques qui a déclaré la semaine dernière ne se «reconnaître ni dans le projet de société de Nicolas Sarkozy, ni dans le projet politique du PS».

    Le rendez-vous manqué

    Il est tout de même intéressant de noter que ceux qui souhaitent une alliance sont nettement plus nombreux à la vouloir avec le PS (22 %) plutôt qu’avec l’UMP (13 %). Il apparaît d’ailleurs qu’un rapprochement avec le PS séduirait une majorité des électeurs de Ségolène Royal, alors que ceux de Nicolas Sarkozy repoussent largement une alliance du MoDem avec l’UMP.

    Il est donc logique que la plupart (80 %) de ceux qui ont voté pour Royal au premier la croient sincère dans sa relation du rendez-vous manqué avec François Bayrou entre les deux tours de la présidentielle. Sincérité à laquelle ne croient finalement qu’une petite majorité des sondés, les autres électeurs étant nettement plus réservés ou incrédules sur ce point. Et c’est à peu près dans la même proportion qu’ils croient à la sincérité de François Bayrou dans la présentation qu’il fait de ce rendez-vous.

     

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