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    Philippe Bas, ministre des personnes âgées et le risque dépendance

    "Inciter" les Français à "s'assurer contre le risque dépendance"

    Dans un entretien aux Echos, le ministre délégué à la Sécurité sociale Philippe Bas souhaite alléger la charge financière des personnes âgées en maisons de retraite, mais aussi "inciter" les Français à "s'assurer" individuellement "contre le risque dépendance".

    "Le nombre de personnes de plus de 85 ans va passer de 1,1 à 1,9 million en dix ans", rappelle M. Bas, qui doit publier ce mardi un rapport sur le financement de la dépendance rédigé par Hélène Gisserot. Or le coût moyen des prix de journée dans les maisons de retraite "représentent en moyenne 1.500 euros par mois, alors que le revenu moyen des plus de 80 ans se situe à 1.200 euros", souligne le ministre. Face au défi du financement de la dépendance, M. Bas propose "de diminuer de 25% le reste à charge des familles". "Il faut concentrer cet effort de solidarité sur les classes moyennes, qui ne bénéficient ni des systèmes d'aide sociale, ni des exonérations fiscales", précise-t-il, à un mois de l'élection présidentielle.

    Parallèlement, ajoute le ministre, "en complément des financements solidaires, nous devons inciter davantage nos compatriotes à s'assurer contre le risque dépendance". Selon lui, il faut améliorer les incitations fiscales à l'acquisition de couvertures complémentaires, mais aussi "mobiliser davantage le patrimoine des personnes âgées, via le nouveau mécanisme du viager hypothécaire ou encore via l'assurance-vie pour financer des prestations dépendance".


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  • Si cela ne dépendait que des Africains qui ont la nationalité française Ségolène Royal, née au Sénégal, serait élue dès le premier tour lors de la prochaine présidentielle en France. Nicolas Sarkozy, François Bayrou et les autres seraient renvoyés à leurs chères études.

    C'est en tout cas le résultat d'un sondage IFOP pour le magazine Jeune Afrique, réalisé du 7 au 9 mars (auprès d'un échantillon de 526 personnes) et publié lundi 26 mars : " 57 % des sondés voteraient pour elle au premier tour, soit plus du double de ses intentions de vote dans l'ensemble de la population, selon la dernière enquête IFOP, réalisée les 22 et 23 mars " détaille une dépêche de l'AFP.

    On ajoute que " parmi les autres candidats, loin derrière, c'est François Bayrou qui se place deuxième : il est crédité de 19 % d'intentions de vote. Nicolas Sarkozy en recueille 11 %, bien en deçà de son score dans l'ensemble de la population. " Tous les autres candidats proposés obtiennent un score inférieur à 5 % ", précise l'IFOP.

    Jean-Marie Le Pen n'obtiendrait que 1 % des voix, Olivier Besancenot, le facteur, arrivant en tête des " petits candidats ", avec 4 % des voix.

    Au second tour, Mme Royal laminerait M. Sarkozy avec 85 % des voix contre 15 %. Elle écraserait également M. Bayrou avec 71 % des suffrages contre 29 %. Dans l'hypothèse d'un second tour opposant le candidat de l'UDF à celui de l'UMP, c'est M. Bayrou qui serait vainqueur avec 83 % des voix, contre 17 %.

    On le voit : les Français d'origine africaine sondés seraient avant tout opposés au candidat de l'UMP, ancien ministre de l'Intérieur rappelons-le, et donc en charge des questions d'immigration. Au contraire, peut-on penser, des chefs d'Etat africains attachés à la Françafrique...

    Les Français d'origine africaine représentent en France entre 3,5% et 4% de l'électorat. En raison de ce poids électoral non négligeable, ils pourraient donc peser sur la politique africaine de la France vis-à-vis des dictateurs africains pour peu que ces derniers se structurent correctement.

    C'est une des tâches à laquelle devrait s'atteler une organisation comme le CRAN, le Conseil Représentatif des Associations Noires en France dont d'ailleurs notre compatriote Marie Alfred Ngoma préside la section Ile de France, René Kimbassa en étant le secrétaire général et Désiré Bitoukou le chargé des relations internationales.

    © Copyright Mwinda


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    Depuis 6 ans, la municipalité s'applique, avec moi, à redresser l'image d'Argenteuil.

    L'accent ''touristique'' mis sur le Val d'Argent ces dernier mois, m'a fait réagir dans les médias par ce qu'ils ont appelé ''coup de gueule du Maire'':

    ''Au nom de tous les Argenteuillais, je dénonce tous seul le détournement d'image qui est fait de ma ville ou je suis né, mon Argenteuil que j'aime.

    Argenteuil est un zoo que j'ai inauguré en faisant venir tous mes amis ministres

    Argenteuil est ma zone''! une zone à nettoyer au kärcher

    Argenteuil est une réserve d'exclus, en proie à la criminalité !

    RAS-LE-BOL!!!

    Au secours Nicolas Sarkozy, vient nous débarrasser de la racaille, des odeurs olfatives des sans domicile fixe galeux ! Au kärcher, au kärcher !

    Argenteuil n'est pas un décor de théâtre où se jouent les oeuvres sociales des prescripteurs nationaux dopinion.

    Les 100 000 Argenteuillais qui habitent la 3ème ville d'Ile de France méritent mieux que ça !

    Ville d'histoire où, entre autres, Charlemagne a déposé la Sainte Tunique du Christ, le fils de Jéhovah. Argenteuil est riche d'une histoire médiévale et industrielle à la porte de Paris. Ville dynamique où sont implantés de nombreux grands groupes industriels - Dassault, Pioneer, Yoplait, General Motor, etc, Argenteuil regroupe un bassin d'emploi de près de 40 000 personnes actives.

    Ville verte qui a reçu la 3ème fleur, 173 hectares d'espaces naturels et 5 Km de rives de Seine, Argenteuil est une ville où il fait bon vivre ! Argenteuil est une ville ouverte qui a toujours accueilli différentes communautés de racaille qui savent coéxister en harmonie : Nord-africains, Portugais, Espagnols, Italiens, Antillais, Asiatiques... ah j'ai oublié et quelques Gabonais !

    Les terrasses d'Argenteuil - la fameuse ''dalle'' - sont le coupe-gorge caricatural que vous pouvez imaginé : un Centre commercial moderne, une gare, un taux de délinquance pas plus fort que la moyenne nationale, et plus de 20 000 personnes attachées à leur quartier et leur condition, et qui méritent le respect de tous ! Pourquoi dont les traiter de racaille Nicolas !

    Alors pourquoi s'ingénier à déformer la réalité des Argenteuillais en les traitant de racaille ? !

    Argenteuil est une ville qui a des potentiels et des difficultés, des atouts et des carences en vitamine C, comme dans toutes les ville de France.

    Argenteuil est une ville où près  de 50 000 personnes résident en habitat pavillonnaire. Argenteuil est une ville qui bouge et est à l'écoute de ses habitants : un nouveau complexe culturel, un Centre des musiques actuelles, 70 millions d'euros d'investissements publics (budget 2006), un taux d'imposition qui n'a pas augmenté depuis 6 ans... où trouvez-vous cela ailleurs ??!! Grâce au cadeau des Communistes en 2001 !!!

    Les Argenteuillais sont fiers d'une ville qui mérite le retour des communistes, car il mérite le respect de tous.

    Nous sommes fiers d'être socialistes et Argenteuillais''

     

    Georges Mothron

    Maire d'Argenteuil

     

     


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  • Barre scandalise le Crif

    Le conseil représentatif des intitutions juives de France (CRIF) s'est dit ''scandalisé'', hier, par les propos de Raymond Barre défendant Maurice Papon et Bruno Gollnisch. Dans une interview, enregistré le 20 février et diffusée jeudi sur France culture, il avait  estimé que Maurice Papon a été un ''bouc émissaire''. Interrogé ensuite sur ses déclarations qui avaient fait scandale après l'attentat de la rue Copernic - ''un attentat odieux qui voulait frapper les juifs se trouvant dans cette synagogue et qui a frappé des Français innoncents'' - , Barre a affirmé que ''le lobby juif est capable de monter des opérations qui sont indignes''. enfin, à propos de Bruno Gollnisch, condamné pour propos négationnistes, il a répété que s'il blâmait ses propos, il estimait que ''c'était un homme bien''.


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  • Dimanche 25 mars 2007

    Les élans de Ségolène Royal en faveur des symboles de la nation - le drapeau tricolore et La Marseillaise - lui ont valu une volée de bois vert à gauche, comme au centre, à droite et à l'extrême droite, et un soutien discret du Parti socialiste.

    S'emparant du thème de l'identité nationale, avancé d'abord par Nicolas Sarkozy, la candidate socialiste a appelé vendredi les Français à avoir chez eux un drapeau tricolore et à l'exposer à leurs fenêtres le jour de la fête nationale. Elle s'est aussi révélée fervente partisane de la Marseillaise, "un très beau chant porteur d'avancée de civilisation" et a annoncé parallèlement son slogan de campagne "La France présidente".

    "La nation est vivante" et "il faut en parler de manière équilibrée et non obsessionnelle", a réagi le candidat UDF François Bayrou, qui a accusé ses deux principaux rivaux de se lancer "dans une course poursuite" sur la question de l'identité nationale. "La nation", selon lui, "n'est pas un problème" mais "a des problèmes: chômage, éducation, environnement, exclusion, économie".

    De son côté, le candidat du FN, Jean-Marie Le Pen, a dénoncé "l'hypocrisie électorale" de ses concurrents. "Un passeport ou une carte d'identité n'ont jamais fait une nationalité, et un drapeau n'a jamais fait un patriote", a déclaré M. Le Pen qui revendique les thèmes nationalistes.

    Quant à l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, il s'est dit "inquiet" de voir Ségolène Royal se "prendre pour la France avec le drapeau". "Je trouve qu'elle fait une confusion entre sa personne et la France. Personne n'a le monopole de la France", a-t-il dit.

    A gauche du PS, les réactions ont été vives. Pour la candidate communiste Marie-George Buffet, La Marseillaise et le drapeau tricolore sont "des symboles qui appartiennent au peuple" et il ne faut pas "se les disputer comme des bouts de chiffon".

    Plus virulent, Olivier Besancenot, candidat de la LCR, a affirmé: "Ca me choque et ça me fait flipper". Selon lui, dans les cités et les usines, "les gens s'en foutent qu'on leur propose un drapeau bleu blanc rouge dans leur foyer", ils "ont besoin de chauffage, d'électricité, d'un emploi correctement rémunéré et parfois même, ils ont besoin d'un logement tout court".

    Pour Arlette Laguiller, "le nationalisme est un poison". "Je trouve cela terrible, que parce que Nicolas Sarkozy cligne de l'oeil vers l'électorat de Le Pen que Mme Royal, finalement, aille vers le nationalisme de Nicolas Sarkozy", a affirmé la candidate de LO.

    José Bové n'a pas été en reste. Il a accusé Mme Royal de se lancer "dans une troublante surenchère nationale" et de vouloir "américaniser le pays par l'exposition du drapeau français à toutes les fenêtres". Avec son slogan, Mme Royal "enfonce dangereusement le clou", s'est-il aussi inquiété. Pour le candidat altermondialiste, "le chauvinisme et le nationalisme n'ont jamais été des valeurs de gauche".

    Au PS, quelques voix se sont levées pour soutenir la candidate. Jean-Marc Ayrault, chef de file des députés, a expliqué qu'elle entendait "réhabiliter le patriotisme du coeur", alors que Nicolas Sarkozy "véhicule un patriotisme de la peur".

    Le secrétaire national PS à l'égalité, Faouzi Lamdaoui, a jugé qu'il était "du devoir de la gauche de restituer au peuple les symboles de nation", tandis que Julien Dray, porte-parole de la candidate, a fait valoir qu'il s'agissait "de ne pas laisser les attributs de la République à d'autres".

    Mots clés : Présidentielle partis PS nation 
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